Je suis sûr qu'il y avait moyen de faire un portrait moins frontal. Disons qu'à première vue et même première écoute, je n'avais pas deviné qu'il ferait autant de rotation dans mon fond sonore quotidien. Trop courtes, ces 37 minutes, j'ai le sentiment d'avoir été ensorcelé par cette charmeuse de serpent qui contraste avec le côté austère de la pochette. Il faut dire que si ça ressemble à de la musique classique ça glisse souvent vers le jazz et le néo-classique, et pas seulement... Il faut dire qu'Olivier Glissant apparait aussi bien dans l'entourage de musiciens brésiliens comme Tico da Costa dont je reparlerais bientôt je l'espère mais aussi de John Zorn. Bon je ne l'ai repéré que sur un seul titre chez Tzadik (la piste 4 du tribute à Ginsbarre) mais allez hop, je lui colle l'étiquette tzadik family.
Musique nouvelle, classique, contemporaine from Martinique, Paris et NY chez Blacksalt records, 4 octobre 2017
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