Je sens que la demande en matière de Doom estival n'a jamais été aussi forte, alors surfons sur la vague. Celui-ci, je l'aurais plutôt classé en Harsh et, à vrai dire, je pensais ne pas en parler ayant eu un peu de mal à l'écouter en entier. Nous en parlions récemment sur un forum et L écrivait ceci:
"J'ai écouté l'album de Eyjafjallajökull et il y a indéniablement
rythmes...pour ma part, j'y vois des mélodies..."
Des mélodies? Cherchez bien...
(psst : il n'est pas encore trop tard pour fuir)
Lien Bandcamp
Dark ambient, Doomcore estival, abstract electronic noise, 22 juin 2014
Hey, ta technique en marketing ça doit s'appeler créer le besoin ou quelque chose dans le genre. Bilan après les vacances pour voir si ça a été le nouveau tube de l'été. S'il y a des rythmes, des mélodies, ça colle pile-poil avec les attentes estivales. Après la lambada, la foulamoa, peut-être que 2014 est l'année de Eyjafjallajökull qui sait ?
RépondreSupprimerMince non c'était 2010 son année.
Fuir ? Pour qui tu me prends ?
SupprimerQuand je trouve la musique insupportable dans les magasins, j'essaye toujours d'imaginer ce que ça donnerait avec ce type de musique... Je ne sais pas si les gens finiraient par s'y habituer... Pour le tube de l'été, j'ai des doutes.
SupprimerA la première écoute j'ai fui au bout de 30 secondes mais finalement j'y suis revenu avec précautions.
J'aime bien ton idée d'être dans un supermarché, d'y entendre une musique insupportable qui te fatigue les oreilles et d'imaginer ce que ça pourrait donner si on la remplaçait par une musique du type de Eyjafjallajökull... je trouve ça très amusant et je vois bien quelques petites histoires à écrire à ce sujet.
SupprimerDu coup, je trouve Eyjafjallajökull bien moins difficile à écouter :)
Apati = des trombes d'eau qui s'abattent sur moi, voilà la mélodie que j'entends, c'est un peu beaucoup répétitif
RépondreSupprimerDödsorsak = ce qu'on entend à la radio quand on perdu de quelques Hz la fréquence du canal FM, on ne comprend plus rien, mais on entend toujours, Dödsorsak c'est ça
Letargi = une boucle musicale de 2s pendant 2mn, donc on entend 60 fois la même chose. Après ça si on n'a pas compris c'est qu'on est vraiment bouché...
Reducerad = le morceau le plus intéressant (peut-être le seul... pour moi, mais je ne suis pas allée au bout des 30mn, je l'avoue, je me suis arrêtée ~15mn). Je n'ai pas du tout l'impression d'une réduction, plutôt l'inverse, j'imagine la construction d'une ville en accéléré. Et c'est pour ça que je trouve que ce morceau irait très bien avec cette vidéo de la construction de 432ParkAvenue à NY http://www.432parkavenue.com/new-construction-in-NYC/time-lapse-video/
Sinon, c'est une bonne idée d'utiliser Eyjafjallajökull pour faire fuir... les pénibles...
Si à l'écoute du morceau tu imagines la construction d'une ville, à mon humble avis c'est que le morceau est réussi dans le sens où il provoque images et émotions. Ça me conforte dans mon idée de tenter le coup. Merci pour ce retour du coup.
SupprimerJe trouve que Reducerad fonctionne bien dans ce contexte expérimental comme dans le contexte : Ungarnas överlevnad var reducerad. ce qui signifie : Le taux de survie des jeunes rats a été diminué. Il est quand même recommandé de ne pas l"écouter trop souvent ce disque.
RépondreSupprimerDommage que tu ne sois pas allé au bout ça commence à devenir rigolo à partir de 24'25... Parce qu'il donne l'impression de s'arrêter... et là tu te dis ouf c'est enfin fini et puis non... ça continue encore 5 longues minutes.
Sympa le time lapse... Pas sûr que mes clients apprécieraient une telle bande son, si je devais faire la même chose.
Je suis allée au bout et j'ai bien entendu la manière dont ça hoquetait à partir de 24'25, et la dernière minute du morceau elle, dure des heures...
SupprimerEyjafjallajökull c'est le fameux volcan qui m'a bloqué une semaine de plus que prévu à l'autre bout de la planète en 2010... je l'ai aussi vu de près deux ans après, celui-là je ne suis pas prêt de l'oublier et cette musique non plus...(et ça fait beaucoup de près en tout genre)
Hélas j'ai bien peur que ça ne fasse pas fuir que les pénibles.
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