Bien barré
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Electro tribal from Émirats arabes unis, 15 juin 2018
Lundi : Jazz
Mardi : Electro, IDM, Ambient,
Mercredi : Musique du monde et d'ailleurs.
Jeudi : Musiques expérimentales, Power electro, Harsh noise, drone, doom, dark ambient. country, death-industrial
Vendredi : Pop music
Samedi : Proto-punk, Punk, Post-punk
Dimanche : Musique classique, néo-classique et contemporaine.
Mardi : Electro, IDM, Ambient,
Mercredi : Musique du monde et d'ailleurs.
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Dimanche : Musique classique, néo-classique et contemporaine.
Affichage des articles dont le libellé est Tribal. Afficher tous les articles
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jeudi 28 juin 2018
jeudi 5 octobre 2017
Rudolf Eb.er - Rituelle Entfleischung
Et maintenant un peu de country... Ah nan je rigole, tirez pas, même si, c'est tout aussi insupportable. Voilà un disque parfait pour un jeudi, un disque tantrique comme on les aime. ça pulse doucement mais ça pulse un peu comme si vous étiez un morpion accroché à une sale bête perverse polymorphe et retors. Ici encore mieux vaut se contenter du son et ne pas avoir l'image en sus.
"he plants grotesque psycho-magic rituals and tantric exercises to trigger a higher awareness."
Ouais ouais c'est ça. Moi je dis, des fois, vaut mieux être inconscient.
Sweet heavy occult ritualistic harsh noise from Japon, 2 octobre 2017
Libellés :
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mardi 5 juillet 2016
jeudi 12 mai 2016
Virtual Forest - Ritual Machine Music
Arf, un disque bien tribal parfait pour un jeudi.
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Ritual tribal shamanic world music, 9 mars 2016
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Ritual tribal shamanic world music, 9 mars 2016
vendredi 15 janvier 2016
jeudi 29 octobre 2015
siamgda - oppression
Le titre semble être une promesse de mille supplices ou de mille délices. A moins d'être pris de fou rire c'est plutôt pas mal.
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Ethno-barge, Dark ambient tribal chez Ant-zen, 29 octobre 2015
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Ethno-barge, Dark ambient tribal chez Ant-zen, 29 octobre 2015
jeudi 23 juillet 2015
Khost – Corrosive Shroud
En voilà un nouveau disque ethno-barge de l'été 2015 parfait pour un jeudi. Pour le calme, la douceur et la volupté, passez votre chemin. Il est probable que le nom du groupe fasse allusion à une ville de l'Est de l'Afghanistan. Je ne suis pas certain que l'office de tourisme de la ville (s'il existe toujours) apprécie une telle allusion. Pourtant n'est-ce pas la bande son idéale de vos prochaine vacances en Afghanistan?
Etno harsh, Ritual tribal black dark ambient, brutal industrial death and heavy doom metal de l'été, 29 juin 2015
Lien bandcamp et lien spoty (à noter qu'il manque le dernier morceau sur spoty qui est une très belle version alternative du premier morceau)
Etno harsh, Ritual tribal black dark ambient, brutal industrial death and heavy doom metal de l'été, 29 juin 2015
Lien bandcamp et lien spoty (à noter qu'il manque le dernier morceau sur spoty qui est une très belle version alternative du premier morceau)
Libellés :
Dark metal,
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mercredi 8 avril 2015
Mutamassik - Symbols Follow
Excellent.
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Musique du monde tribale, dark transcendantal sonic experiments chez Discrepant, 6 avril 2015
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Musique du monde tribale, dark transcendantal sonic experiments chez Discrepant, 6 avril 2015
mardi 4 novembre 2014
Wildbirds & Peacedrums - Rhythm
Après quoi, je vous propose de rester dans de l'avant-pop-tribale.
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Avant-pop-tribale chez The Leaf Label, 3 novembre 2014
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Avant-pop-tribale chez The Leaf Label, 3 novembre 2014
lundi 8 septembre 2014
Clap! Clap! - Tayi Bebba
Pour une rentrée tribale adoptez Tayi Bebba.
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Electro, tribal, footwork, musique du monde from Italie, 8 septembre 2014
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Electro, tribal, footwork, musique du monde from Italie, 8 septembre 2014
vendredi 28 juin 2013
the sixth sun - tzolk'in
Un peu flippant le 6ème soleil... Je veux bien faire la fête chez les mayas mais je reste sur mes gardes, je n'est pas très envie qu'on m'offre en sacrifice, sinon... je passe mon tour, merci... Magnifique disque qui tient la route sur la durée (7 morceaux d'une dizaine de minutes).
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Industrial-tribal-aztec-dark-ambient from Allemagne chez Ant-zen, juin 2013
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Industrial-tribal-aztec-dark-ambient from Allemagne chez Ant-zen, juin 2013
mardi 25 juin 2013
No visitors - quttinirpaaq
Excellent et pas trop difficile d'écoute, si, si (je vous conseille quand même de passer le premier morceau).
Je n'ai pas trop compris ce qu'était le Crunk en lisant wiki:
"Le crunk, c'est le heavy metal du hip-hop. Un son puissant avec des grosses basses destiné à être joué très fort" Pas très explicite... Il y a mieux :
"le crunk peut être défini comme « la Bible avec une couverture de Playboy »."
Autrement dit:
"Layers of in the red fuzz, feedback, vomit, claustrophobia, no eye contact, distorted 808 beats, extended sludge work outs, wind-up glam drums and suspicious voices from other rooms. A whispered vocal here, a bass bin begs for it's life there, a transmission from a Tejano station hangs in the air with the spilled beer and haze of smoke. An EDP Wasp synthesizer vibrating off Dave Brock's amp and crashing to the floor while Egyptian Lover totally wipes out while roller skating."
Si après avoir lu ça, vous avez encore envie de l'écouter... il ne manque que l'étiquette :
Harsh-crunk-sludge, indus-tribal-dark-ambient from Austin, juin 2013
Je résume : un nom imprononçable que vous n'arriverez jamais à retenir, un titre d'album pas très convivial, une pochette de disque qui évoque un obscur coup de chasse d'eau et un descriptif qui ressemble au pire du pire... Pourtant le son est bon et après en avoir écouté plusieurs dans le même style celui-ci me semble être le meilleur et de loin... ceci étant dit:
Pas de visiteur ni de commentaire, merci.
Je n'ai pas trop compris ce qu'était le Crunk en lisant wiki:
"Le crunk, c'est le heavy metal du hip-hop. Un son puissant avec des grosses basses destiné à être joué très fort" Pas très explicite... Il y a mieux :
"le crunk peut être défini comme « la Bible avec une couverture de Playboy »."
Autrement dit:
"Layers of in the red fuzz, feedback, vomit, claustrophobia, no eye contact, distorted 808 beats, extended sludge work outs, wind-up glam drums and suspicious voices from other rooms. A whispered vocal here, a bass bin begs for it's life there, a transmission from a Tejano station hangs in the air with the spilled beer and haze of smoke. An EDP Wasp synthesizer vibrating off Dave Brock's amp and crashing to the floor while Egyptian Lover totally wipes out while roller skating."
Si après avoir lu ça, vous avez encore envie de l'écouter... il ne manque que l'étiquette :
Harsh-crunk-sludge, indus-tribal-dark-ambient from Austin, juin 2013
Je résume : un nom imprononçable que vous n'arriverez jamais à retenir, un titre d'album pas très convivial, une pochette de disque qui évoque un obscur coup de chasse d'eau et un descriptif qui ressemble au pire du pire... Pourtant le son est bon et après en avoir écouté plusieurs dans le même style celui-ci me semble être le meilleur et de loin... ceci étant dit:
Pas de visiteur ni de commentaire, merci.
jeudi 1 novembre 2012
Thunder May Have Ruined The Moment - Vieo Abiungo & Pete Monro
Artist: Vieo Abiungo & Pete Monro
William Ryan Fritch.
from: Vancouver
Album: Thunder May Have Ruined The Moment
Sortie: 2012
Genre: Musique contemporaine, Electro, Tribal
Label : Lost tribe sound
Genre: Musique contemporaine, Electro, Tribal
Label : Lost tribe sound
William Ryan Fritch.
Encore un disque extraordinaire et absolument génial découvert sur swqw.fr.
samedi 20 octobre 2012
Relax - Frustration
Artist: Frustration
Fabrice Gilbert - chant
Mark Adolf - batterie
Fred Campo - synthétiseur
Emmanuel Blervaque - basse
Nicus Duteil - guitare
Le troisième disque de Frustration est aussi génial que les deux premiers mais un peu plus "relax" et un peu plus éléctro et donc un peu moins punk. Les influences du groupe sont multiples et variées et il serait fastidieux de les énumérer toutes (il suffit de lire les blogs qui en parlent, j'ai même lu une référence à Minor Threat - et pourquoi pas les Smiths, les Washington Dead Cats ou les Dead Kennedys?). La palette est large et c'est ce qui fait l’intérêt de ce groupe caméléon dont l’énergie est surprenante.
J'ai eu la chance de les voir en concert hier soir au Temps Machine. Au début j'ai eu un peu peur parce que j'ai un peu trop écouté leurs albums et, du coup, l'absence totale de surprise était un peu au rendez-vous (aussi parce qu'il y a pas mal de vidéos de concert en ligne) et puis finalement ils ont joué des morceaux du prochain album et là... j'ai trippé comme une midinette à un concert des Smiths. Ils ont vite enchainé sur un autre titre plutôt punk du nouvel album (qui devrait sortir dans quinze jours). J'avais lu pas mal d’âneries sur eux comme quoi ils étaient du genre virils et pas franchement du genre à rigoler. Le bassiste et surtout Fred Campo aux claviers avaient le sourire jusqu'aux oreilles et le chanteur l'a plutôt joué auto-dérision et il est plutôt marrant. Pour l'anecdote, le guitariste s'est fait plaisir en chantant un morceau visiblement de sa composition (soit disant une reprise d'Electric Electric) qui commençait effectivement comme un morceau d'Electric Electric puis s'est tranformé en un pur moment de rock'n'roll avec des wap doo wap. Autre anecdote, c'était la première fois que (côté public) je voyais une personne handicapée se déhancher autant sur son fauteuil roulant au point de manquer de tomber à plusieurs reprises. Le public était donc plutôt chaud et ils ont fait deux rappels ce qui leur a permis de jouer mes morceaux préférés dont la reprise de Crisis.
Lien Spotify vers Relax
Lien Spotify vers Crisis
Lien Grooveshark vers Warsaw (Joy Division)
Artist: Electric Electric
Eric Bentz (guitare et chant), Vincent Redel (batterie) et Vincent Robert (claviers et chant)
En première partie de Frustration, Electric Electric a plutôt bien assuré. Je les avais déjà vu en concert mais dans un autre registre... celui du premier album: un math rock en duo guitare-batterie assez indigeste. Je préfère le nouvel album plutôt électro punk space tribal noisy pop très dans l'air du temps. En concert, je ne suis pas parvenu à la transe (contrairement à certaines personnes dans le public qui, pour le coup, ont assuré davantage le spectacle que sur scène) peut-être un peu refroidi par le procédé des boucles sonores qui donnent parfois l'impression que le groupe joue en playback (j'entends encore la guitare alors qu'il n'en joue plus). L'avantage c'est de pouvoir jouer à trois comme s'ils étaient quinze en changeant d'instruments plusieurs fois à l'intérieur du même morceau afin de faire un maximum de bruit jusqu'à obtenir une sorte de bouillie sonore pas désagréable sur laquelle on n’entend plus que la batterie. Il faut dire qu'à la fin des morceaux ils ont généralement tous les trois des baguettes dans les mains. Ils n'ont pas joué trop longtemps, c'était parfait.
Lien Spotify vers Electric Electric
Lien Spotify vers Silver Apples
Lien Spotify vers Zombie zombie
from: Paris
Album: Relax
Sortie: 2010
Genre: Post Punk rock, Electro industrial Cold Wave,
Album: Relax
Sortie: 2010
Genre: Post Punk rock, Electro industrial Cold Wave,
Label : Born Bad
Fabrice Gilbert - chant
Mark Adolf - batterie
Fred Campo - synthétiseur
Emmanuel Blervaque - basse
Nicus Duteil - guitare
Le troisième disque de Frustration est aussi génial que les deux premiers mais un peu plus "relax" et un peu plus éléctro et donc un peu moins punk. Les influences du groupe sont multiples et variées et il serait fastidieux de les énumérer toutes (il suffit de lire les blogs qui en parlent, j'ai même lu une référence à Minor Threat - et pourquoi pas les Smiths, les Washington Dead Cats ou les Dead Kennedys?). La palette est large et c'est ce qui fait l’intérêt de ce groupe caméléon dont l’énergie est surprenante.
J'ai eu la chance de les voir en concert hier soir au Temps Machine. Au début j'ai eu un peu peur parce que j'ai un peu trop écouté leurs albums et, du coup, l'absence totale de surprise était un peu au rendez-vous (aussi parce qu'il y a pas mal de vidéos de concert en ligne) et puis finalement ils ont joué des morceaux du prochain album et là... j'ai trippé comme une midinette à un concert des Smiths. Ils ont vite enchainé sur un autre titre plutôt punk du nouvel album (qui devrait sortir dans quinze jours). J'avais lu pas mal d’âneries sur eux comme quoi ils étaient du genre virils et pas franchement du genre à rigoler. Le bassiste et surtout Fred Campo aux claviers avaient le sourire jusqu'aux oreilles et le chanteur l'a plutôt joué auto-dérision et il est plutôt marrant. Pour l'anecdote, le guitariste s'est fait plaisir en chantant un morceau visiblement de sa composition (soit disant une reprise d'Electric Electric) qui commençait effectivement comme un morceau d'Electric Electric puis s'est tranformé en un pur moment de rock'n'roll avec des wap doo wap. Autre anecdote, c'était la première fois que (côté public) je voyais une personne handicapée se déhancher autant sur son fauteuil roulant au point de manquer de tomber à plusieurs reprises. Le public était donc plutôt chaud et ils ont fait deux rappels ce qui leur a permis de jouer mes morceaux préférés dont la reprise de Crisis.
Lien Spotify vers Relax
Lien Spotify vers Crisis
Lien Grooveshark vers Warsaw (Joy Division)
Artist: Electric Electric
from: Strasbourg
Album: Discipline
Sortie: 2012
Genre: Electro Post tribal Punk rock
Album: Discipline
Sortie: 2012
Genre: Electro Post tribal Punk rock
Label: Herzfeld,
Kythibong, Africantape et Murailles Music
Eric Bentz (guitare et chant), Vincent Redel (batterie) et Vincent Robert (claviers et chant)
En première partie de Frustration, Electric Electric a plutôt bien assuré. Je les avais déjà vu en concert mais dans un autre registre... celui du premier album: un math rock en duo guitare-batterie assez indigeste. Je préfère le nouvel album plutôt électro punk space tribal noisy pop très dans l'air du temps. En concert, je ne suis pas parvenu à la transe (contrairement à certaines personnes dans le public qui, pour le coup, ont assuré davantage le spectacle que sur scène) peut-être un peu refroidi par le procédé des boucles sonores qui donnent parfois l'impression que le groupe joue en playback (j'entends encore la guitare alors qu'il n'en joue plus). L'avantage c'est de pouvoir jouer à trois comme s'ils étaient quinze en changeant d'instruments plusieurs fois à l'intérieur du même morceau afin de faire un maximum de bruit jusqu'à obtenir une sorte de bouillie sonore pas désagréable sur laquelle on n’entend plus que la batterie. Il faut dire qu'à la fin des morceaux ils ont généralement tous les trois des baguettes dans les mains. Ils n'ont pas joué trop longtemps, c'était parfait.
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Lien Spotify vers Silver Apples
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dimanche 7 octobre 2012
Varvakios - Savage Republic
Artist: Savage Republic
from: Los Angeles
Album: Varvakios
Enregistrements : février 2012
Sortie: septembre 2012
Genre: Noisy cold space tribal industrial post-punk des balkans.
Influences: The Jesus Lizard, Black Flag, Throbbing Gristle, Joy Division, Can.
Thom Furhmann : bass, guitar, vocals
Ethan Port: vocals, guitar, percussion
Alan Waddington: drums, percussion
Kerry Dowling: Bass, Guitar, Percussion
invités:
Blaine L. Reininger: Violin
Disque magique d'un excellent groupe qui nous fait voyager aussi bien dans le temps que dans l'espace. L'utilisation des field recordings de ce disque enregistré en Grèce (à la fin des émeutes de 2012) en 72 heures fonctionne à merveille et concilie ce qui sur le papier aurait pu paraitre inconcevable : un mélange de Can, de musique des balkans (Grèce), de Joy division et de Wire. A l'écoute de ce disque on se dit que le hasard et l'improvisation a dû jouer un rôle important. Ce qui surprend le plus c'est le côté minimaliste et la sobriété du jeu des musiciens qui laissent une place importante à l'ambiance. J'aime particulièrement le jeu de violon de Blaine L. Reininger de Tuxedomoon invité pour l'occasion.
Lien Spotify vers Varvakios
Lien Grooveshark vers Tragic Figures (1982)
Lien Grooveshark vers Ceremonial + Trudge (1985)
Interview (2008)
Livret Varvakios
from: Los Angeles
Album: Varvakios
Enregistrements : février 2012
Sortie: septembre 2012
Genre: Noisy cold space tribal industrial post-punk des balkans.
Influences: The Jesus Lizard, Black Flag, Throbbing Gristle, Joy Division, Can.
Thom Furhmann : bass, guitar, vocals
Ethan Port: vocals, guitar, percussion
Alan Waddington: drums, percussion
Kerry Dowling: Bass, Guitar, Percussion
invités:
Blaine L. Reininger: Violin
Disque magique d'un excellent groupe qui nous fait voyager aussi bien dans le temps que dans l'espace. L'utilisation des field recordings de ce disque enregistré en Grèce (à la fin des émeutes de 2012) en 72 heures fonctionne à merveille et concilie ce qui sur le papier aurait pu paraitre inconcevable : un mélange de Can, de musique des balkans (Grèce), de Joy division et de Wire. A l'écoute de ce disque on se dit que le hasard et l'improvisation a dû jouer un rôle important. Ce qui surprend le plus c'est le côté minimaliste et la sobriété du jeu des musiciens qui laissent une place importante à l'ambiance. J'aime particulièrement le jeu de violon de Blaine L. Reininger de Tuxedomoon invité pour l'occasion.
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Interview (2008)
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