Power electronics from Slovaquie, 26 janvier 2014
Death-industrial, expé-noise from Montréal, 24 janvier 2014.
Collapsologie musicale ou Comment tout peut joyeusement s’effondrer en musique.
Collapsologie musicale ou Comment tout peut joyeusement s’effondrer en musique.
Death-industrial expe-noise. Toi tu sais appâter le chaland. Encore un truc dans ma (de plus en plus) longue liste d'écoute en retard.
RépondreSupprimerHonnêtement, ces disques ne sont pas incontournables... mais correspondent bien à ce que je recherche parfois... Je crois que c'est l'oscillation entre premier degré et second degré qui me fascine dans ces disques, précisément parce que je ne suis pas sûr de la légitimité du second degré... Peut-être que si le groupe s'appelait "estreme bamboule" ça me ferait moins marrer. Sinon, ils ne durent pas longtemps, seulement une vingtaine de minutes chacun de franche rigolade.
SupprimerSi tu n'as qu'une minute je te conseille vivement la dernière minute de
SupprimerFate On Her Knees from The Morning After the Night We Raped Death by Street Sects
http://streetsects.bandcamp.com/track/fate-on-her-knees.
ptdr
RépondreSupprimerT'es sérieux?
Supprimerpourquoi «mort de rire»?
RépondreSupprimerParce que tout ces disques qui tournent autour de la mort sont sacrément effrayant et beaux. Je ne sais pas trop dans quelle mesure on peut réellement en rire... Dans les pires moments j'ai toujours tendance à me marrer d'un rire un peu nerveux. Ici, le mdr, peut synthétiser des choses différentes qui me sont assez personnelles et délicates à développer et finalement pas forcément très drôles. L'idée c'est que j'aimerais bien en finir sur une note joyeuse. L'expression mourir de rire est une expression que j'aime bien prendre au premier degré et qui pourrait, par exemple, conclure ce blog. J'ai néanmoins quelques scrupules à lâcher ce blog sur des disques aussi sombres. Finalement, je préfère en rire, et continuer...
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