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Post dark post punk post indus post post post doom doom doom, 18 décembre 2015
Collapsologie musicale ou Comment tout peut joyeusement s’effondrer en musique.
Collapsologie musicale ou Comment tout peut joyeusement s’effondrer en musique.
La gaieté, c'est comme la tolérance : y'a des maisons pour ça.
RépondreSupprimerIl y avait. Y en a plus en France depuis 1942. A moins de faire du tourisme avec Dodo La Saumur, ce que je ne te souhaite pas. Et puis dans tous les cas il faut de l'argent pour ça et en ce moment c'est plutôt :
RépondreSupprimerhttp://www.dailymotion.com/video/x3kwlyi
Excellent. Grâce à toi, je commence à apprécier Philip K. Trin.
RépondreSupprimerJ'espère pratiquer un jour avec lui au Dojo à Saumur.
Surtout s'il vient avec son assistante parlementaire.
Je me doutais que l'assistante parlementaire retiendrait ton attention.
RépondreSupprimerPareil pour moi P. Catherine j'ai un peu de mal sauf là.
Notre tolérance soudaine envers ce trublion accrédite mon premier commentaire.
RépondreSupprimerJe ne pense pas qu'Anniceris nous lise.
http://anniceris.blogspot.fr/2016/01/la-tolerance-plusieurs-maisons.html
La coïncidence n'en est que plus amusante.
Mouis mais si "l'Être divin ineffable veut être adoré dans la multiplicité." On se demande pourquoi nous sommes si "monogame"
RépondreSupprimerC'est quand même curieux de vouloir être adoré dans la multiplicité.
Déjà "vouloir être adoré" je trouve ça curieux.
Quel blagueur cet "Être divin ineffable"
nous sommes si "monogame"
RépondreSupprimert'as bien fait de pas mettre un s à "monogame"
comme ça on comprend que tu prends pas ton cas pour une généralité.
Ah parce que Monsieur n'est pas monogame peut-être?
RépondreSupprimerJ'en sais foutre rien. Je sais que les canards sont monogames, mais je ne suis pas un canard.
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